Je ne suis pas gay, tout au plus bisexuel, mais la féminisation imposée par une Maîtresse a toujours été quelque chose qui m’excite. Je me suis évidement commandé quelques vêtements féminins sur le net et ABCplaisir, pour réaliser partiellement mes fantasmes en solitaire avec le « manche » à la main. Au plus je regardais des vidéos et photos de Petticoat et de sissy ou travestis sur Fessestivites, au plus mes envies de féminisation grandissaient.

Le profil de Dame Camélia sur le site attira mon attention, j’ai osé la contacter. Au fil des échanges, elle a su m’emmener à dévoiler mes fantasmes, comme ils étaient toujours présentés avec respect et sans rien imposer, quelque chose en moi a du l’interpeller. Si bien qu’un soir, elle m’a invité à une soirée privée chez elle. Le jour J, j’ai bien failli ne pas y aller, tant j’avais peur de rencontrer une Maîtresse. Prenant mon courage à deux mains, j’ai osé et ce soir là, ma vie a changé en tous points.

La soirée privée a été annulée à cause de la neige, nous n’étions que tous les deux pour partager la bouteille de champagne que j’avais emmenée. Autant dire que j’étais dans mes petits souliers d’être seul avec elle.

• C’est une première pour toi ?

• Oui Madame, je n’ai jamais fait de rencontre réelle mais je suis sûr de pouvoir être un bon soumis !

• Es-tu vraiment si sûr de toi ?

• Oui Madame ! J’ai besoin d’être formé et je ferai des erreurs, c’est une évidence, mais ma motivation est grande.

• Tu m’as indiquée que tu rêves qu’une Maîtresse t’impose d’être intégralement féminisé, d’être sa bonniche, son jouet, son souffre douleur.

• Oui Madame, j’aimerai être une Sissy et à votre service.

• Déshabille-toi que je vois à quoi tu ressembles nu !

Aux pieds du mur de mes fantasmes en un seul de ses ordres, j’étais mal, je transpirais comme si je venais de faire un marathon. Avec beaucoup de difficultés, j’ai retiré mes vêtements pour que garder que mon string.

• Et ça, tu comptes le garder longtemps ? Ma demandé Dame Camélia en désignant le dernier rempart de ma pudeur.

Pour retirer mon string, je me suis tourné pour masquer mon sexe. Dame Camélia m’a alors ordonné de m’agenouiller devant elle en position 6. Par chance, je la connaissais, mes surfs sur Fessestivites m’ayant un peu éclairé sur les us et coutumes.

• Et bien dis donc, si tu veux réellement être ma Sissy, il va y avoir du travail ! C’est quoi tous ces poils et ce ventre de buveur de bière ? Il ne te reste plus qu’à faire pousser ta barbe pour ressembler à un épouvantail féminisé !

• Pardon Madame, je ne savais pas, j’aurai du me raser.

• Alors comme ça, tu es libre comme le vent qui caresse les vagues, pour reprendre ton expression, et tu travailles uniquement par internet.

• Oui Madame, je n’ai aucune attache familiale et je suis programmeur informatique en Freelance pour des sociétés. Je peux travailler n’importe où du moment que j’ai un ordinateur. Un coin de table me suffit.

• Es-tu réellement aussi obéissant que tu le dis ?

• Je vous jure Madame de faire l’impossible pour vous satisfaire.

• Ok, tourne-toi et fais-moi voir ton cul !

Horriblement mal à l’aise, je me suis retourné pour lui présenter mes fesses. Dame Camélia m’a attrapé par les testicules d’une main ferme et tiré vers elle. Un de ses doigts a immédiatement commencé à sonder mon anus comme si cela était normal pour elle.

• Presque vierge ce mignon là, tu t’es déjà fait prendre ?

• Non Madame, jamais, mais je me suis amusé tout seul avec un plug, j’adore ça.

• Bien, on va faire quelques tests, suis-moi !

Dame Camélia s’est levée pour aller dans son appartement. Je l’ai suivie au pas de course jusqu’à une pièce fabuleuse pour un novice : un vrai donjon. D’un doigt, elle a désigné une sorte de banc à fessée où j’ai du prendre place. Elle m’a sanglé les poignets et chevilles puis le dos en m’annonçant qu’elle avait envie de s’amuser un peu. Moins d’une minute plus tard, sa cravache s’abattait sur mes fesses m’arrachant des gémissements plaintifs à chaque coup. Je n’ai jamais crié ni supplié, je ne voulais pas la décevoir, ni risquer pour de simples douleurs de passer à côté de la Maîtresse de mes rêves.

Outre être une dominatrice connue, Dame Camélia est une de ces merveilles de la mère nature. Trente-cinq ans, belle comme un coeur, des yeux bleus à faire fondre les moines d’un monastère en un seul clin d’oeil. Ses cheveux longs châtains clairs lui donnent l’air d’une poupée, ou d’un ange.

Le dit ange s’est présenté devant mon visage dans une culotte en satin avec un gode ceinture fin par dessus. Ces jambes et ses cuisses délicieusement fuselées contrastaient avec le sextoy qu’elle tenait d’une mains ferme. Elle me l’a présenté devant la bouche, et comprenant le message, je l’ai ouverte pour sucer le membre en silicone qui, sans nul doute, allait me pourfendre. Quelques minutes plus tard, elle s’est retirée, m’a lubrifié l’anus avant de me prendre sans plus de précaution. Encore une fois, pour ne pas la décevoir, j’ai serré les dents pour ne pas me plaindre. Au bout d’un moment, je tendais les fesses et me sentais femme.

• Tu mouilles de la queue et coules comme une salope en manque ! M’a indiqué Dame Camélia en se retirant.

Elle a enfilé sa jupe en cuir avant de me libérer et de me mettre à quatre pattes pour conduire au salon où j’ai du reprendre la position 6. C’est là qu’un guise d’entretien « « « d’embauche » » » un véritable interrogatoire a commencé. Les questions fusaient sur ma sexualité, ma famille, mes loisirs, mes expériences sexuelles, mes fantasmes. Soudain elle m’a demandé ma carte bleue et mon code ! ? ! ?

• Mais pourquoi faire Madame ?

• Parce que je te le demande !

• Permettez-moi d’insister, pourquoi faire Madame ?

• Tu as peur que je te vole ?

• Non Madame, mais je ne comprends pas !

• Je ne te demande pas de comprendre, je te demande ta carte bleue et son code.

• Pardonnez-moi Madame, mais je ne comprends pas !

• Donc tu me désobéis déjà !

• La demande est particulière Madame !

• En clair, tu me fais confiance pour que je t’attache, alors que j’aurai très bien pu en profiter pour te voler ou te massacrer. Tu indiques être prêt à me confier ta vie et tu ne me fais pas confiance ! Je crois que notre relation est mal partie.

• Mais j’ai confiance Madame, c’est que là.....

• Tu me les donnes de suite ou tu repars.

• Vous allez en faire quoi ?

• Tu verras bien, je te dis juste de me faire confiance, tu ne le regretteras pas ! Va la chercher de suite ou quitte les lieux !

Quelque chose me disait que je devais lui faire confiance. Après tout, je ne risquais que 500 euros, le plafond maximum de ma carte bleue. Alors je lui ai donnée ainsi que le code en croisant les doigts. Dame Camélia l’a prise et m’a indiqué de l’attendre en position 6 avant d’enfiler sa veste et de sortir en me laissant seul avec mes questions. Trois minutes plus tard elle est entrée ravie, m’a donné ses pieds plein de neige à baiser avant de prendre place dans son canapé.

• Tiens, je te rends ta carte et les vingt euros que je viens de retirer. Je ne suis pas une voleuse, je voulais juste vérifier que tu me faisais réellement confiance même pour ça. Ton code je vais l’oublier, je n’en ai rien à faire. Puisque tu as réussi ce dernier test, je veux bien te prendre à l’essai. Par contre, tu vas avoir de très sérieux efforts à faire. Es-tu réellement disposé à devenir sa Sissy et ma soumise ?

• Oh merci madame, vous ne pouvez pas imaginer le bonheur que vous me faites !

• Ne te réjouis pas trop vite, tu n’es qu’à l’essai. Tu vas devoir te mettre au régime et perdre ce ventre puis faire en sorte de me virer cette pilosité. Une Sissy poilue c’est moche !

• Bien Madame !

• Ensuite, ma Sissy ne se branle pas sans permission. Je vais de suite te mettre sous cage de chasteté ensuite, je m’amuserai un peu avec ma future poupée de chair.

Dame Camélia m’a demandé de la suite à nouveau au donjon, où d’un placard, elle a sorti une cage de chasteté en métal.

• C’est une snake, elle t’ira bien pour commencer. Elle te permettra de te laver sans souci passe tes testicules dans l’anneau je m’occuperai de ta nouille après. C’est la cage de ma dernière Sissy, j’ai du la congédier pour mauvaise conduite. Tu vois, moi aussi je te fais confiance, je te laisserai partir avec cette cage alors que c’est notre première rencontre ! M’indiqua Dame Camélia en m’attrapant la verge qu’elle dut plier fortement pour la faire passer dans l’anneau.

Elle enfila le tube de la cage puis posa le cadenas en disant « voilà une bonne chose de faite ». D’un grand placard elle attrapa une robe en satin rose puis des escarpins en me demandant si je faisais bien du 40 comme pointure.

• Enfile ça et revient au salon, je vais préparer mon maquillage !

Mettre les escarpins n’a pas été difficile, marcher avec ne serait ce que pour aller attraper la robe sur un portant fut une tout autre histoire ! Lorsque j’ai enfilé la robe, le contact du satin a enflammé mes sens, je devenais enfin femme du moins en apparence. Si je n’avais pas eu la cage de chasteté, il y aurait eu une grosse bosse devant quand je me suis présenté au salon en marchant comme un handicapé.

Dame Camélia m’a fait asseoir devant sa coiffeuse pour commencer par me recoiffer. Elle s’est ensuite attaquée à mon maquillage en me demandant de regarder comme elle s’y prenait car d’ici quelques temps je devrai savoir le faire seul. Au fur et à mesure mon visage changeait, je n’étais plus tout à fait la même personne. Je n’étais plus Paul et devenais Pauline.

• J’adore maquiller un homme quand c’est une première pour lui. C’est un peu comme si je jouais à la poupée. Ce que j’aime aussi c’est leur visage. Quand on souligne leur féminité, leurs yeux s’allument. Viens voir le résultat dans le grand miroir et essaye de ne pas te casser la figure !

Lorsque je me suis vu de pieds en cap, en prenant les poses demandées, je me suis à peine reconnu. Ma transformation entre ses mains était époustouflante.

• Regarde les poils de tes jambes qui dépassent, c’est moche. Et là, dans ton ...... franchement, c’est horrible. Je vais te donner l’adresse d’une fille qui fait des miracles avec les poils. Tu prendras rendez-vous cette semaine de ma part, elle ne se posera pas de question, on se connaît bien toutes les deux. Alors, comment te trouves-tu ?

• Sublime Madame, vous m’avez totalement transformé. Vous êtes ma reine, une magicienne, vous avez des doigts de fée.

• Oh là, on se calme. Ta reine je ne le suis pas encore, il faudra en être digne pour devenir ma soumise. Bon, il se fait tard, j’ai envie de prendre un bain et d’aller me coucher. Tu peux dormir ici ?

• Oui Madame, je suis à votre disposition !

• Fabuleux ! Viens que je te fasse voir comment fonctionne la maison !

Dame Camélia me fit visiter son appartement qui s’est avéré bien plus grand que je ne le pensais. Elle me montra ma chambre, dont le décors me surprit beaucoup. Une vraie chambre de petite fille avec des variables très particulières comme un pilori à la tête du lit baldaquin en acier puis des anneaux en acier dans tous les angles.

Elle me fit voir la cuisine où je devrai lui préparer son petit déjeuner et lui apporter au lit à neuf heure précise le lendemain. Arrivés dans une salle de bain de rêve avec une immense baignoire elle me demanda de lui faire couler un bain à 35° précise en me montrant un thermomètre. Dame Camélia me laissa s’occuper de son bain et partit se démaquiller.

Je l’attendais en surveillant la température et en me demandant si je ne rêvais pas. Et là, elle est entrée en peignoir, c’est mise devant moi en me demandant de la dévêtir. Mon coeur s’est emballé ! Mes doigts tremblaient sur la fermeture éclair de sa robe, la gorge serrée je l’ai faite coulisser sur ses épaules finement dessinées avant de la faire glisser sur ses hanches de rêve avec un maximum de douceur.

• Allez, arrête de rêver, retire ma culotte, me voir nue ne te brûlera pas les yeux !

Mon « Bien Madame » a eu bien du mal à sortir de ma bouche tant j’étais gêné et ébloui par sa beauté. Mes doigts ont à peine effleuré sa peau pour retirer son fin rempart de tissu me dévoilant son intimité. Dans ma cage de chasteté, c’était Beyrouth, j’avais l’impression que mes testicules allaient s’arracher !

Une fois étendue dans son bain, Dame Camélia m’a tendu ses pieds et demandé de les laver avec douceur. Par peur de passer pour un voyeur, je ne regardais qu’eux comme s’ils étaient la première merveille du monde. Je passais mes doigts savonneux entre ses orteils comme s’ils étaient en cristal, puis massais la plante de ses pieds comme si je lui faisais un massage.

Elle me les a retirés des mains pour les tremper dans l’eau avant de me dire de les lécher. C’était une première pour moi de lécher les pieds d’une femme. C’était magique, j’avais l’impression de lui faire l’amour avec ma bouche. Son bain terminé, Dame Camélia m’a demandé de lui passer un peignoir qu’elle a enfilé sous mes yeux les privant d’un spectacle grandiose pour moi.

• Demain 9 heures précises dans la tenue que tu portes ce soir ok ?

• Bien madame !

• Tu peux prendre un bain dans mon eau si tu veux avant d’aller te coucher. Bonne nuit petite salope.

• Merci Madame, bonne nuit.

C’est ainsi que c’est achevée notre première soirée. Une soirée de rêve pour un soumis comme moi qui, en quelques heures venait de réaliser une grande partie de ses fantasmes. Si la soirée fut de rêve, la nuit fut horrible. J’ai eu des érections de folie dans la cage de chasteté. J’avais l’impression que l’on m’arrachait les testicules tant je bandais dur dans ce petit tube en métal. Ma peau dépassait carrément et se pinçait chaque fois que je me retournais. Depuis j’ai appris à gérer, mais la première nuit ce fut assez hard !

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Au petit matin, je tournais en rond, impossible de dormir. Je me suis donc levé et vêtu comme Madame le souhaitait pour aller préparer au moins le début de son petit déjeuner. Voulant faire bonne impression, j’ai trouvé l’aspirateur après avoir fait la petite vaisselle qu’il restait. Alors j’ai entrepris de faire le ménage et ce ne fut pas une bonne idée ! ! !

Dame Camélia est arrivée comme une furie, m’a collé deux gifles en me disant de réfléchir et qu’un aspirateur cela fait du bruit ! Je me suis confondu en excuses en regardant comme un voyeur son adorable fessier repartir vers la chambre.

Cet adorable fessier, j’allais avoir l’occasion de le voir de très près !

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